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Le salon indien

Le salon indien par la Compagnie faisan sur Vimeo.

De la séance inaugurale du Cinématographe Lumière au Salon indien du Grand Café le 28 décembre 1895, il ne reste plus aujourd’hui que le faisceau de la lumière comme dernier acteur ; le bonimenteur, puis le musicien, et enfin le projectionniste sont passés à la trappe. La séance de cinéma fut un jour vivante.

Le salon indien est une reconfiguration du « spectacle cinématographique », un hommage aux temps brinquebalants où les projections cinéma, leurs artisans-concepteurs, et le spectacle du public réuni offraient un voyage collectif incomparable.

Dédale(s), un spectacle musical

Faisant compagnie avec TaCTuS, l’ensemble de percussions rencontré à Lyon en 2010 lors un concert-texte aux Subsistances (une création Villa Gillet/TaCTuS) l’argument portait alors sur trois contes fantastiques de Maupassant. Cette fois-ci, en avant Bach !

L’insurrection poétique

Léon et Jacques Bonnaffé

Jacques Bonnaffé, parrain de l’édition 2015 du Printemps des poètes : L’insurrection poétique, désirant suivre le mouvement éclaté, la prolifération printanière de cet événement à travers les villes et les régions, avec son fils Léon s’est confectionné une petite forme changeante, adaptée aux lieux et aux circonstances, bourrée de citations, de fusées. Et « pleine de poésie » comme il convient de le dire en plissant les yeux…

Concert-texte par Jacques Bonnaffé et Louis Sclavis à la Maison de la Poésie

Ludovic Janvier, portrait

Concertexte, jongleries, entre un acteur avide des mots, Jacques Bonnaffé, et un virtuose de la musique improvisée, créateur de souffle et de jazz, Louis Sclavis, pour une soirée consacrée à l’inclassable romancier, au poète et essayiste Ludovic Janvier. Promeneur en tous genres, il a obtenu le prix Goncourt de la nouvelle et publié deux essais remarqués sur son ami Samuel Beckett.

Jazzer les mots

Louis Sclavis et sa clarinette

Concerts-textes de Jacques Bonnaffé et Louis Sclavis

Nous nous retrouvons et confectionnons notre concert sur place, partant de thèmes abordés précédemment, avec des airs neufs et de nouveaux textes. Nos montages ont emprunté à Verheggen à Valérie Rouzeau, à Queneau, à Jacques Darras, à Baudelaire, Gerhasim Lucas, Marceline Desbordes Valmore, Sédar Senghor, Jean-Bernard Pouy, Erri di Luca, Carlos Drummond de Andrade, Ludovic Janvier…

Trente-six nulles de salon

Si Bouvard et Pécuchet étaient préoccupés de tout connaître, les Mario savent un peu tout déjà. Et, contre l’encyclopédisme ancien, couvent un autre rêve : faire parler d’eux ; moches et célèbres. Possible aussi qu’ils se passionnent pour les plateaux télé, moins ceux qu’on engloutit devant le poste le soir que la vie de plateau en direct, adaptée à leurs moeurs quotidiennes…

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