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Le blog de Jacques Bonnaffé

Posologie poétique: une dose radiophonique quotidienne

Bobine en Burger

Prévue dès la rentrée, une tranche de poésie sur France-Culture, qui m'est confiée quotidiennement. Mettre en voix un auteur par semaine, en faire un rendez-vous journalier.

Loin d’Hénin, loin des nains. Il n’y a pas que l’actualité Marine dans ches corons

Ce qui a d'bien qu'on est plusieurs, c'est qu'on n'est pas tout seul

Faut regarder l’autre aspect des régionales en cours : des réalisations qui mettent en joie. Mairies entreprenantes qui rendent concrète et quotidienne la démocratie participative. On pense à Loos-en-Gohelle et à l’équipe de Jean-François Caron qui parle écologie et progrès. On pense à Christian Champiré, élu communiste, à la ville de Grenay qui a toujours placé la culture et l’art comme rempart à l’insécurité et la haine nationaliste. On aime la liberté, l’intelligence, on aime Grenay. On s’y trouvait le 20 juin pour l’inauguration de l’ médiathèque-estaminet, réussite architecturale sans conteste et réussite populaire, de celles chères à Ronny Coutteure ou à Cafougnette…

Avignon, dans ma petite cour

mon petit Moi

Un mensuel de Théâtre m'a demandé l'autre jour quel spectacle a changé ma vie.... "en quelques lignes, s'il vous plait". Je l'ai pris pour moi, bien sûr. Peut-être aurais-je du dire la Tempête de Strelher, ou plus sauvage et plus enfoui tel spectacle de tréteaux lors d'un été d'enfance, mais non, j'ai cherché parmi les spectacles que j'ai joué, où se trouvait la grande faille. Et j'ai pas su.... Faire court.

Le parrain aux aveux

Extrait d'un entretien avec Naly Gérard pour le mensuel La Vie, Témoignage Chrétien.
A propos de l'Insurrection Poétique, qui démarre le 7 mars.

VEILLEURS MIEUX

Quelque chose à franchir, tout trop lourd maintenant. L’année qui s’ouvrait prolongeait bien sûr celle qui se fermait, nous semblions dans des logiques dispersées mais prévisibles. On est moins dispersés… Tous happés par cette brutalité sommaire, nos corps alourdis réagissent dans l’émotion et dans un sursaut se souviennent qu’elle est l’arme des cons trop souvent, ceux qui crient vengeance et mort pour mort. La froideur doit s’exercer à doubler les cris, nos peurs ou nos chagrins nous ouvrir les yeux. On garde la fraternité, tout compte fait.

En préparant le Printemps, les boules...

le printemps est évident car

Parrain de l'édition 2015 du Printemps des Poètes, je profite des premiers froids et de l'agitation montante de Noël pour m'isoler et garder notes des premières réflexions sur son thème aventureux, l'Insurrection Poètique. Posons les mots, soyons responsables, assez givrés pour l'heure. Parlons des poètes et du printemps. Parlons de mars et les pied sur terre...

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