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LES 7 DERNIÈRES PAROLES
Les 7 dernières paroles du Christ en Croix de Joseph Haydn, version alto seul par Emmanuel Haratyk. EN TOURNÉE.
Créé en mars 2024 au cloitre des Bernardins à Paris, repris en août au festival d'Uzeste musical, puis à Poitiers à Notre Dame la Grande, la preformance musicale envoutante suit son chemin.
Dans une transcription audacieuse, Emmanuel Haratyk s’inspire des quatre versions existantes de cette Passion de Joseph Haydn et plus naturellement de la version pour piano. Cette adaptation nouvelle pour un alto seul, affirme sa force chorale et son dépouillement. Le texte-poème de Jean-PIerre Nortel, interprété par Jacques Bonnaffé remonte vers le jour, les dernières suppliques du Christ au seuil de l’éternité.
Emmanuel HARATYK, alto solo.
Jacques BONNAFFÉ, récitant.
Emmanuel Haratyk - Violon alto. Premier Prix du conservatoire national de musique de Paris, lauréat des concours internationaux de Florence et « Viotti » de Vercelli (…)Successivement membre des Quatuors Gabriel, Anton, Castagneri, il rejoint le Quatuor Manfred (1er Prix du concours de Banff et 1er Grand Prix du concours d’Evian) en 2007 avec lequel depuis lors il a joué l’intégrale des quatuors de Haydn, de Beethoven, de Schubert ….
LES 7 DERNIERES PAROLES DU CHRIST EN CROIX - JOSEPH HAYDN.
Commandée à Joseph Haydn en 1786, l’œuvre fut d’abord écrite pour orchestre, puis réécrite pour quatuor à cordes. Une réduction pour piano en a été faite avec l’approbation de Haydn, avant qu’il ne la réécrive pour 4 voix solistes. C’est dire que le principe de l’adaptation au gré des ensembles qui allaient la jouer n’a rien d’insolite fut même encouragée dès son origine, par le compositeur. C’est dans cet esprit qu’Emmanuel Haratyk a adapté l’œuvre pour alto solo, sans en dénaturer la richesse musicale. Du temps de Joseph Haydn, chacune des 7 dernières paroles du Christ faisait l’objet d’une courte précision, une monition, sur le sens de l’écriture. Au fil du temps, ces interventions ont été remplacées par des commentaires poétiques. C’est le texte-poème de Jean Pierre Nortel, comédien et ancien aumônier des artistes, qui sera lu par l’acteur Jacques Bonnaffé.
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